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Gaules30
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Jeu 30 Avr 2020 - 21:55


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Lun 21 Mar 2022 - 11:53
https://www.lemonde.fr/archives/article/1972/04/06/la-regionalisation-a-l-ordre-du-jour-l-exemple-nimois-et-le-projet-marseillais_3035868_1819218.html

L'instauration du contrat à temps pour les joueurs professionnels depuis la saison 1969-1970 (1) a été un grand événement pour le football français. Avec le recul du temps, on en mesure mieux aujourd'hui certaines conséquences, et en particulier les difficultés qu'éprouvent désormais les clubs professionnels pour constituer une équipe avec des joueurs venus d'autres horizons. La liberté de choix laissée aux joueurs arrivés en fin de contrat a en effet entraîné très rapidement une surenchère sur les éléments de valeur, alors qu'auparavant ceux-ci, conformément à l'ancien système, étaient liés à leur club jusqu'à trente-cinq ans et ne pouvaient être transférés qu'avec l'accord de ce dernier.La révélation ou la confirmation de certains joueurs de grand avenir comme Franceschetti (Bastia), Kéruzoré (Rennes) ou Mézy (Nîmes) dans leur club régional, et les excellents résultats obtenus - surtout à domicile - par des équipes mises sur pied à peu de frais avec des éléments locaux, comme Bastia et Nîmes, ont amené certains présidents à parler de régionalisation.M. Rohou, président du Stade rennais, espère ainsi parvenir dans un proche avenir à aligner une équipe composée de neuf joueurs bretons, renforcée par deux éléments de grand talent transférés d'un autre club ou venus de l'étranger. C'est aussi M. Lorenzi, président de Bastia, qui souhaite pouvoir former un jour une équipe composée exclusivement de joueurs corses.Le meilleur exemple d'équipe régionale depuis plusieurs années demeure cependant celui du Nîmes olympique, second du championnat de France professionnel.

Par GÉRARD ALBOUY.
Publié le 06 avril 1972 à 00h00 - Mis à jour le 06 avril 1972 à 00h00

Temps de Lecture 5 min.

Si l'on examine les origines des vingt joueurs utilisés, cette saison, en championnat par le Nîmes Olympique, on s'aperçoit que des liens étroits les rattachent à ce club.

• Dix d'entre eux sont issus directement des équipes de jeunes du club : Betton, Canetti, Marcellin, Mezy, Odasso, Boyron, Iniesta, Martinelli, Mathieu et Moretti.

• Trois y sont arrivés comme amateurs et s'y sont révélés : Adams, Kabyle et Landi.

• Cinq sont originaires des départements du Gard ou de l'Hérault et ont signé à Nîmes après une expérience, en général malheureuse, dans d'autres clubs professionnels : Augé (Montpellier), Bonnet (Avignon), Dell' Oste (Monaco), Vergnes (Red Star) et Combette (Montpellier).

• Deux étrangers ont été offerts au club en échange d'une publicité sur les maillots : Pircalab et Voïnéa.

C'est ce que l'on pourrait appeler communément une équipe de " quatre sous ", si l'on considère l'aspect financier du recrutement, mais c'est aussi la formation qui inquiéta le plus l'Olympique de Marseille en championnat.

En présence d'une telle réussite, on est en droit de s'intéresser aux vertus d'un recrutement régional.

Il est inutile d'insister sur les avantages financiers de l'opération. Il s'avère aussi que les joueurs, même professionnels, se sentent psychologiquement plus liés à leur club s'ils y ont été formés, s'ils s'y sont révélés, ou même s'ils sont originaires d'une localité voisine. Ce phénomène peut être comparés, dans les rangs des petits amateurs, à l' " esprit de clocher ".

Kader Firoud, l'entraîneur du Nîmes Olympique, avoue qu'il lui arrive de miser sur ces arguments pour la préparation de certains matches importants, surtout à domicile. Les joueurs sont d'autant plus facilement incités à donner le maximum qu'ils opèrent devant leurs amis, leurs parents, leurs anciens partenaires des équipes inférieures du club, etc.

Dans cet esprit, on peut se souvenir d'une rencontre disputée en 1967, au cours de laquelle une sélection des joueurs corses avait battu à Marseille l'équipe de France par 2 buts à 0.

Du football de commando...

Cet aspect psychologique explique en partie que Nîmes, avant sa défaite devant Marseille, était invaincu sur son terrain depuis le 13 décembre 1970 (vingt-deux matches de championnat, un de Coupe de l'Union européenne et quelques rencontres amicales). De même, Bastia, qui aligne régulièrement six joueurs corses, ne s'est incliné qu'une fois à domicile cette saison, devant... Monaco.

On peut regretter, à cet égard, que, dans bien des villes, les municipalités donnent l'exemple en octroyant aux clubs professionnels des sommes très importantes - bien souvent au détriment des clubs amateurs ou de jeunes - afin d'en faire de dignes " porte-drapeau " de leur localité.

Cette politique entraîne parfois des excès : joueurs surexcités, publics fanatisés, football dénaturé que l'on qualifie souvent de commando : tous les coups ou presque sont permis pour assurer le résultat.

Mais la régionalisation comporte aussi des aspects positifs. Un recrutement auprès des jeunes ou des amateurs régionaux implique la nécessité de former la plupart de ces éléments. Deux conditions sont alors nécessaires : avoir d'abord de bonnes équipes de jeunes ; s'entendre parfaitement, ensuite avec les petits clubs de la région.

Vers la formation déjeunes

C'est ce qui est réalisé à Nîmes et explique le succès du club.

A Nîmes, plus de trois cents enfants se sont inscrits, cette année, à l'école du football qui fonctionne tous les jeudis matin. Faute d'encadrement suffisant, une centaine d'entre eux ont dû être éliminés. Les autres ont été pris en charge, dans la mesure du possible, par le titulaire, en équipe professionnelle, du poste pour lequel ils semblent avoir le plus de dispositions.

Le responsable de cette école est un entraîneur diplômé, Henri Noël, qui peut déjà repérer les meilleurs éléments pour les équipes pupilles et minimes du club. A partir de ce choix, une autre sélection s'opère. Les meilleurs restent au Nîmes Olympique, les autres peuvent s'inscrire dans les nombreuses équipes du championnat Nîmes-ville ou de la proche banlieue. Ils sont alors remplacés dans les équipes de jeunes de Nîmes Olympique par les espoirs de ces clubs voisins. La détection ne pose aucun problème : ce sont les joueurs professionnels nîmois qui assurent souvent les entraînements de ces clubs.

Ces échanges débouchent sur l'une des meilleures équipes de juniors en France puisque Nîmes détient le record des victoires en Coupe Gambardella (Coupe de France des juniors) avec trois victoires en 1961, 1966 et 1969.

Au sommet de cette pyramide, on retrouve enfin les internationaux confirmés comme Jacky Novi ou Michel Mézy qui sont issus de cette école.

Quand les grands suivent l'exemple

Par obligation depuis l'instauration du contrat à temps, ou par souci de suivre l'exemple d'équipes comme Nîmes, composées à moindres frais, cette politique de formation des jeunes semble faire de plus en plus, d'adeptes parmi les dirigeants de clubs professionnels.

Seuls l'Olympique de Marseille, l'O.G.C. Nice et Paris-Saint-Germain, qui bénéficient de confortables subventions municipales pour leur recrutement, semblaient pouvoir s'en passer.

On se souvient des transferts retentissants de cinq internationaux en titre à l'O.G.C. Nice (Baratelli, Camerini, Huck, Loubet et Revelli), grâce à une somme de 1 million et demi de subventions municipales, prélevée sur les 3 millions 900 000 francs accordés pour trois ans. Cette subvention pourrait permettre aux dirigeants niçois de renouveler, chaque année, semblable opération. Il n'en sera probablement rien puisque le nouveau président du club, M. Loeuillet entend limiter à chaque inter-saison son recrutement à un seul joueur de très grande valeur internationale et porter son effort sur la formation des jeunes. Il convient de préciser qu'il est aussi l'un des dirigeants d'un club de quartier, le Cavigal - Nice - Sports, d'où sont sortis, entre autres, Herbin (Saint-Etienne), Baratelli, Camerini et Marchetti (O.G.C. Nice), Rostagni, Rémond et Léandri (Paris S.G.), Gallina (Angers), Tordo (Sedan), Buffat (Aix), etc.

C'est vers cette même politique que semble se diriger M. Leclerc, le président de l'Olympique de Marseille, malgré la subvention (3 millions de francs pour quatre ans) accordée par la ville. Pour avoir constaté que de nombreux joueurs de l'équipe de France étaient d'origine provençale, le président de l'O.M. pense pouvoir constituer dans les années à venir une formation à forte ossature régionale.

Cette option irait de pair avec un projet qu'il défend depuis longtemps, celui d'un championnat où toutes les grandes métropoles régionales seraient représentées par un club qui serait aussi l'émanation de tout le football des départements voisins. Formule qui aurait surtout, selon lui, l'avantage d'assurer aux clubs français des recettes leur permettant de vivre sur un pied d'égalité avec les grandes équipes européennes. Cette dernière forme de régionalisation, plus ambitieuse, ne serait pas, paradoxalement, un recul, mais permettrait de nourrir des ambitions européennes.

(1) Avant cette période, le joueur professionnel qui signait une licence à un club était lié à celui-ci Jusqu'à l'âge de trente-cinq ans. Le contrat à temps lui permet désormais de signer dans une équipe professionnelle pour une durée déterminée après accord entre les deux parties.

GÉRARD ALBOUY.

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Lun 21 Mar 2022 - 21:10
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